





Les estimations crédibles exploitent des chocs quasi expérimentaux, des variations réglementaires ou des instruments externes. Elles tracent des liens causaux, pas seulement des coïncidences. Documenter les mécanismes, partager les codes et répliquer les résultats nourrit la confiance, accélère l’apprentissage collectif et améliore la pertinence concrète des décisions publiques futures.
Comparer des modèles keynésiens et réels d’affaires éclaire des réponses différentes aux mêmes chocs. Calibrer, simuler et tester la sensibilité aux hypothèses dévoile des marges d’erreur. Communiquées clairement, ces fourchettes guident les arbitrages, évitant les illusions de précision qui, souvent, sabotent la mise en œuvre opérationnelle des politiques économiques.